plénitude

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PAR LUDOVIC Nous sommes tous concernés. Mais que faire ?


" Tout enfant qui est temporairement ou définitivement privé de son milieu familial, ou qui dans son propre intérêt ne peut être laissé dans ce milieu, a droit à une protection et une aide spéciales de l'Etat "
Convention internationale relative aux Droits de l'Enfant

 j" ouvre ici ma rubrique et mon Blog : à 46 ans et bien que vivant une situation familiale de père divorcé ( je m'interroge: mon fils est à l'abri et je le protège ...
mais que faire pour tous ces enfants esclave !!! en effet 
250 millions d'enfants de cinq à quatorze ans sont contraints au travail dans le monde.
 Ils vivent pour la majorité dans les pays du Tiers Monde, d'Asie, d'Afrique ou d'Amérique du Sud, mais aussi en Europe où près de 2 millions de jeunes de moins de 15 ans travaillent. Notamment au Royaume Uni, en Allemagne, en Italie. On estime que 40 millions d'enfants travaillent en Inde, 5 millions aux Philippines, etc. j"ai honte car j ai gardé mon âme d' enfant mais ma raison d'adulte ce révolte sous le fallacieux titre de mal contemporain du siècle ?? qu"elle vilain mot qui normalise cette situation  déplorable !!!
 
t
ous ces enfants sont sous-payés, donc rentables. Le prix affiché sur une écharpe de soie ne reflète pas le fait que des fillettes de 5 ans attrapent des ulcères à cause de la teinture qu'elles avalent en coupant les fils de soie avec leurs dents. Dans les magasins chics de Paris, Rome ou Genève, où l'on trouve des tissus, des sacs ou des chaussures de luxe, la mention "cousu main", label de qualité, cache souvent la journée de travail d'un enfant.que faire?? moi le premier concerné.
Quelles solution??
Par conséquent, deux tendances s'affrontent aujourd'hui : celle qui vise l'élimination progressive du travail des enfants et celle qui réclame le droit au travail pour les enfants dans de bonnes conditions. Cependant elles se rejoignent pour combattre les pires formes de travail : l'esclavage et le travail forcé, le trafic des enfants, l'enrôlement forcé dans les conflits armés, l'utilisation des enfants pour la prostitution, la pornographie et toutes sortes d'activités illicites.
j" ouvre à mon tour cette rubrique et je dénonce c'est bien peux je sais ' donné moi votre avis ma rubrique reste ouverte 
OBER ludovic le16.06.09


20/09/2009
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A NANTES ( pourtant généreux)

  Mais que s'est-il donc passé pour qu'un Conseil général de gauche, réputé généreux, revoie si subitement sa copie ? « Il faut rappeler que rien n'oblige le département à faire ce qu'il fait », prévient le patron d'un centre d'hébergement. « Mais il a tout de même une mission de protection de l'enfance ! », rétorque une ancienne assistance sociale. L'an passé, les budgets consacrés au social auraient littéralement « explosé », selon des observateurs. « Avec la crise économique, le RSA et les transferts de compétences de l'État non budgétés, le Conseil général s'est retrouvé dans le rouge », analysent des acteurs sociaux. « Il y a aussi la hausse de l'immigration et une forte communauté Roms... ce n'est pas gérable pour lui », ajoutent-ils, sous couvert d'anonymat. « D'autant qu'il a pu y avoir des abus... » « Peut-être », répond une militante. « Mais en attendant, comme d'habitude, tout le monde trinque ! »

21/09/2009
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Stéphane Hessel le sage



 Que de sagesse et pourtant cette séquence date de 2009, le voilà le sage et sa raison!!!

Un visionnaire!!!!!! Qu'il me manque pour des décisions et des choix de vie pourtant si simple.


http://youtu.be/-kbmYZ4A4ag?t=5m39s


10/07/2014
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Les équipes de PLAN poursuivent leurs efforts en Haïti

Les équipes de PLAN poursuivent leurs efforts en Haïti

Les experts des situations d'urgence de PLAN, partis hier de République Dominicaine ont rejoint nos collègues de Plan Haïti à Port au Prince.


Crédits : AlertNet.org Les 143 membres de Plan Haïti, poursuivent leurs efforts avec les équipes de secours en liaison avec le gouvernement et d'autres organisations.

Comme de nombreux Haïtiens, certains parmi eux ont perdu leurs proches et sont en état de choc mais tentent de surmonter ces traumatismes pour participer aux secours de ceux encore en vie.  Car c'est une course contre la montre pour sauver les personnes toujours présentes sous les décombres, comme le déclare Rezene Tesfamariam, directeur de Plan Haïti. Lire son témoignage.

Les 9 experts PLAN vont aider à l'évaluation rapide des besoins pour mettre en œuvre une réponse adaptée. Ils prévoient déjà l'arrivée d'une deuxième équipe en renfort.

A l'heure actuelle, le principal objectif de PLAN est de garantir les droits des enfants dans cette situation d'urgence, en concentrant ses efforts dans les domaines de l'eau et l'assainissement, la santé, l'hébergement, la protection des enfants et le soutien psychologique.

Vu l'ampleur de la catastrophe, Plan International a dores et déjà débloqué plus d'un million de dollars, soit 700 000 € pour répondre aux besoins immédiats.

PLAN est présent en Haïti depuis 37 ans et bénéficie donc dune forte expérience sur le terrain, ce qui en fait l'une des organisations les plus qualifiées pour aider les communautés dans l'urgence.

Le bureau régional des Amériques de PLAN n'a toujours aucune information concernant les 42 000 enfants d'Haïti soutenus par PLAN.
De nombreux dégâts ont été constatés dans les communautés de Port au Prince, Jacmel et Croix-des-Bouquets.

Vous pouvez faire un don à notre Fonds d'Urgence pour aider les enfants et les familles affectées par cette catastrophe. Les dons collectés sur ce fonds au mois de janvier seront affectés pour contribuer en priorité aux besoins d'urgence et de réhabilitation en Haïti.

Nous continuerons de vous informer régulièrement de l'évolution de la situation.

Nous rejoindre

17/01/2010
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Peut-être commenciez-vous à devenir gênante ? ( pour moi c'est la vrai raison ...........!!)





       Dominique Versani est une personne qui s' occupe de la protection de l ' enfance depuis 2006 ,    après sa nomination comme  présidente du réseau européen des défenseurs des enfants. elle apprend  : que l'institution qu'elle incarne était menacée???    

         voici ces réactions et sa surprises évoqué lors d'un questions réponse recueillis par Patrick Lallemant.

                    
  En quelques jours vous apprenez la possible suppression de votre poste et vous prenez les rênes du réseau européen des défenseurs des enfants. Comment avez-vous vécu cette semaine ?

De manière paradoxale ! Nous appellerons cela les mauvais hasards du calendrier : d'une part un projet de loi envisage de supprimer l'institution que je représente et à diluer ses missions dans une grosse machine administrative, qui ne garantit plus la défense des droits de l'enfant comme nous l'assurons. Et simultanément, j'accueille cette semaine les 35 défenseurs européens des droits de l'enfant, dont je prends la présidence comme cela était prévu depuis un an.

Vous n'avez vraiment jamais été consultée sur le projet de loi ?

J'ai été alertée après coup par quelqu'un qui m'a conseillé de lire le compte-rendu du Conseil des ministres du 9 septembre. Et pour tout vous dire, c'est même moi qui ai donné l'information à des ministres qui n'assistaient pas à ce conseil, comme Nadine Morano, par exemple. Ce sont quand même des méthodes nouvelles, contraires à tous les usages. A aucun moment je n'ai été informée ou consultée. Or, que vaut une loi sans concertation ? Rien, comme le prouve le tollé énorme déclenché par l'annonce du projet de loi. En cinq jours, nous avons déjà recueilli 16.000 signatures de personnalités, de magistrats, de professionnels de l'enfance ou d'anonymes qui protestent contre cette possible disparition.

Quelles sont vos missions précises ?

Concrètement, je reçois tous les jours des réclamations, individuelles ou collectives, concernant un ou des enfants dont un droit fondamental n'a pas été respecté par une administration ou par une personne privée. À partir de là, nos équipes d'avocats, juristes ou psychologues interviennent pour rétablir l'enfant dans ses droits. Trois mille enfants ont ainsi bénéficié de notre soutien cette année ; vingt mille, depuis la création de l'institution. Il s'agit dans plus de la moitié des cas de problèmes d'autorité parentale et de résidence. Nous avons également une trentaine de jeunes qui effectuent leur service civil volontaire chez nous et qui se rendent dans les établissements scolaires ou les centres aérés pour y promouvoir les droits des enfants. Plus de cinquante mille enfants ont ainsi été formés à la défense de leurs droits. Enfin, nous émettons également un avis sur toutes les propositions de loi ou de décrets réglementaires concernant les enfants. Cette année, nous avons ainsi émis des avis sur l'adoption, sur le fichage des enfants ou sur l'avant-projet relatif au changement de la justice des mineurs.

Peut-être commenciez-vous à devenir gênante ?

C'est ce que tout le monde me dit ! Personnellement, j'ai le sentiment d'avoir été juste en phase avec ma fonction : à la fois respectueuse, mais sans complaisance. Maintenant, que cela ait pu agacer, déranger... Peut-être ! Mais je crois qu'une République s'honore à avoir, à la marge, des gens qui lui rappellent ses engagements. De plus, un défenseur des enfants doit être indépendant, d'autant que cette indépendance n'a pas de conséquences énormes. On entend beaucoup plus parler de moi en ce moment que quand nous formulions des remarques au gouvernement sur tel ou tel projet de loi !

Comment voyez-vous l'avenir ?

À l'heure actuelle, je n'ai aucune visibilité. Je demande le retrait du projet de loi, et que soit entamé un travail sérieux de réflexion et de concertation. Vouloir réformer n'est en effet pas critiquable. Mais il s'agit de savoir quelles réformes mener, comment, et surtout d'y associer celles et ceux qui sont en charge d'une institution de la République. Ce que je peux vous dire en tout cas, c'est que tous mes collègues européens trouvent incroyable que la France, patrie des droits de l'homme qui a contribué à la rédaction de la Convention internationale des droits de l'enfant, se mette en retrait l'année où l'on célèbre précisément les 20 ans de cette Convention ! Je rentre de Moscou où j'étais invitée, car le président Medvedev a nommé un défenseur des enfants sur le modèle français. Mes interlocuteurs étaient stupéfaits. En attendant, nous continuons à travailler, car les enfants ne se sont pas arrêtés de nous écrire !
        

26/09/2009
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